L’institut étant organisme de formation, ses enseignants et experts sont aussi des praticiens, des observateurs du quotidien. Les expériences “terrain” des stagiaires les intéressent naturellement.
Les stages ne sont pas toujours confortables, au sens professionnel du terme. Trop souvent les stagiaires sont confondus avec leurs futurs collègues :
Par le public qui leurs demandes ce qu’ils ne peuvent autoriser ;
Par des entreprises de sûreté qui comprennent ou honorent mal le droit du travail et de la formation ;
Par la Force Publique qui les trouve ou les contrôle seuls sur des sites.

Que souhaiter au stagiaire CQP-APS qui, d’un côté, apprend la Loi et la déontologie (la morale du métier d’agent de sécurité et donc son interdiction d’être opérationnel sans carte) et, d’un autre côté, comprend que s’il est majeur et contrôlé ou impliqué, sa soumission lui vaudra d’être écarté du métier (pour manquement à l’honneur ou travail illicite) ?
Cabinet de conseil, L’institut recommande vivement à ses clients à ce que les choses soient claires, transparentes pour tous. Le stagiaire doit être une personne identifiable et réellement “couverte” par son statut.
Sa société sœur ; Universal Security, équipera dorénavant tous les stagiaires de vêtements indiquant leur statut encore plus lisiblement que le badge habituel.
Ainsi, on peut dire que la sécurité s’habille de transparence.
A bientôt.